Face à des Grecs courageux, la Pologne qui avait pourtant la situation en main à la pause, concède un match nul décevant pour son entrée en lice. Szczesny, coupable sur le but égalisateur puis expulsé, a été le héros malheureux de ce premier match.
Curieusement, Smuda n'a pas procédé au moindre changement depuis la rentrée de Tyton. Pourtant, certains de ses hommes semblent au bout du rouleau.
Sur le corner, tiré par Obraniak de droite à gauche, Chalkias est plutôt approximatif dans sa sortie aérienne. C'est sans fâcheuse conséquence pour les Grecs.
Blaszczykowski s'enfonce sur le côté droit et centre en force. Katsouranis détourne. Il n'est pas loin du but contre son camp, mais ce sera finalement un corner pour les Polonais.
Temps additionnel : trois minutes.
Piszcek reste à terre après un choc avec Samaras. Le temps tourne et les hommes de Smuda ne trouvent pas la solution.
Malgré les encouragements de leurs supporters, les Rouge et Blanc ne parviennent plus à se procurer la moindre situation dangereuse.
Karagounis se charge du coup franc. Il cherche la tête de Samaras. Mais le capitaine grec n'est pas en réussite sur les coups de pied arrêtés et le mur polonais repousse.
Perquis commet une faute dans un duel aérien à 30 mètres de ses buts. Attention au coup franc grec.
Boenisch commet la faute sur Torosidis dans le camp grec. Les Polonais confondent vitesse et précipitation.
Les tirs se multiplient de part et d'autre. C'est au tour de Lewandowski de frapper du droit dans un angle fermé. Le ballon échoue sur l'extérieur du filet.
Karagounis profite d'une nouvelle contre-attaque pour prendre sa chance du droit, d'assez loin : à côté.
Obraniak transmet la sphère à Polanski, qui des 20 mètres, décoche une frappe écrasée du gauche. Pas de souci pour Chalkias.
Les Polonais s'installent dans le camp grec. En face, les hommes de Fernando Santos sont parfaitement regroupés et n'hésitent pas à se déployer en contre.
Les Grecs bénéficient d'une nouvelle petite occasion. Profitant d'une mauvaise relance de Boenisch, Samaras prend sa chance de loin. Sa tentative du droit s'envole dans les tribunes.
Obraniak s'infiltre sur le côté droit de la surface. Il est à la lutte épaule contre épaule avec K. Papadopoulos. Le penalty qu'il réclame ne lui sera pas accordé.
Torosidis, bien alerté par Salpingidis, tente sa chance de loin. Il y avait sans doute mieux à faire.
Les Grecs bénéficient d'un coup franc après une faute de Blaszczykowski sur Holebas. Cela va leur permettre de se dégager.
Malgré ce penalty arrêté par le héros Tyton, les Polonais ont du mal à se montrer dangereux. Ils ont visiblement perdu le fil du match dans ce deuxième acte.
But refusé à Karagounis, qui avait repris victorieusement un centre au cordeau de Fortounis venu de la gauche. Mais ce dernier est signalé hors-jeu sur la déviation préalable de Samaras de la tête. Pas facile à juger, même au ralenti.
Le scénario de cette rencontre inaugurale est incroyable. Les deux équipes sont à égalité parfaite, tant au tableau d'affichage que sur le plan numérique : à dix contre dix.
Arrêt de Tyton ! Le gardien remplaçant polonais est parti du bon côté sur sa gauche pour repousser le penalty, tiré par le pied droit de Karagounis.
Smuda sacrifie Rybus, qui est remplacé par Tyton. Ce dernier va prendre place dans la cage polonaise.
Carton rouge ! Szczesny est logiquement expulsé par Monsieur Velasco Carballo.
Penalty pour la Grèce après une faute de Szczesny sur Salpingidis, qui était parti dans le dos de la défense et s'était présenté seul face au gardien polonais.
Gekas est remplacé par Fortounis pour ce qui constitue le dernier changement grec.
Sur un bon centre de Boenisch depuis l'aile gauche, Rybus vient placer une tête plongeante au premier poteau. Le cadre n'est toujours pas au rendez-vous et Chalkias passe une soirée finalement tranquille.
Les Polonais s'agacent et commettent des fautes. Cela donne l'occasion à Karagounis puis à Torosidis de gagner quelques précieuses secondes.
Samaras manque le coche. Auteur d'un appel dans la surface polonaise, le joueur du Celtic avait été complètement oublié par la défense adverse. Mais sa reprise en demi-volée du gauche est complètement dévissée.
Les Polonais manifestent quelques signes d'énervement, à l'image de Rybus, qui bouscule Torosidis, lequel protégeait son ballon pour obtenir la sortie de but.
Salpingidis tacle Boenisch par-derrière. Cette fois, Monsieur Velasco Carballo aurait très bien pu avertir le buteur hellène.
Obraniak tire lui-même ce coup franc situé à 25 mètres dans l'axe. Sa frappe du gauche passe un bon mètre trop à droite de la cage grecque.
Coup franc intéressant pour les joueurs de l'Aigle, après une vilaine faute de K. Papadopoulos sur Obraniak.
Chalkias se signale par une sortie aérienne dans sa surface, consécutivement à un coup franc de Piszczek.
Tout heureux du scénario de cette deuxième période, les joueurs de Fernando Santos ont désormais totalement abandonné le ballon aux Polonais.
Carton jaune pour Karagounis, coupable d'une main volontaire.
Incroyable formation grecque, qui à dix contre onze et sur sa première véritable occasion de but, a trouvé la faille dans la cuirasse polonaise. C'est le septième but en sélection de Salpingidis.
But de Dimitrios Salpingidis ! Sur un débordement de Torosidis sur le côté droit suivi d'un centre, Szczesny manque sa sortie devant Gekas. Salpingidis, opportuniste, en profite pour glisser le ballon du droit dans le but vide.
Piszcek se montre toujours aussi offensif. A la suite d'une percée dans l'axe, il sert Lewandowski sur sa droite. La frappe en déséquilibre de l'avant-centre s'envole dans les tribunes.
Côté grec, Katsouranis est descendu d'un cran pour épauler K. Papadopoulos. C'est donc avec une charnière totalement différente de celle présente au coup d'envoi qu'évolue la sélection hellène.
Un changement côté grec, poste pour poste : Ninis est remplacé par Salpingidis.
Reprise de la rencontre. Les Polonais donnent le coup d'envoi de la deuxième période.
Les Polonais mènent logiquement, sur une réalisation de leur avant-centre Lewandowski. Ils se sont créé les meilleures occasions dans ce premier acte, qui s'est terminé par des décisions arbitrales litigieuses et défavorables aux Grecs, réduits à dix.
Holebas est averti pour contestation.
Sur un centre de Ninis, Perquis se couche sur le ballon et le bloque clairement du bras dans sa surface. Les Grecs sont encore furieux, à juste titre, de l'arbitrage de Monsieur Velasco Carballo, mais le penalty qu'ils réclament ne leur sera pas accordé.
Le coup franc d'Obraniak trouve une nouvelle fois Perquis. D'un coup de tête au point de penalty, le Sochalien manque le cadre.
Temps additionnel : trois minutes.
Carton rouge ! Papastathopoulos, déjà averti pour une faute tout aussi peu évidente quelques minutes plus tôt, est expulsé. Les Grecs sont furieux et on les comprend.
Carton jaune pour Papastathopoulos, pour une faute prétendue sur Murawski.
Samaras effectue un gros pressing sur la défense polonaise. Cela ne paye pas jusque-là.
Beaucoup de ballons passent par Ninis sur le côté droit. La Grèce finit un peu mieux cette première période, mais sans obtenir la moindre occasion.
Sur le banc de touche des visiteurs, Fernando Santos fait gris mine. Le coach portugais, qui a la particularité d'avoir dirigé les trois Grands (Porto, Benfica, Sporting) n'a pas trouvé la solution tactique pour le moment.
Le deuxième corner de suite pour les Grecs est encore tiré par Ninis. Cette fois-ci, Szczeseny boxe le ballon du poing.
Corner grec côté droit. Ninis place un bon centre. Polanski dégage in extremis au premier poteau : re-corner.
Sur le coup franc tiré par Obraniak depuis le côté gauche et mal repoussé par la défense hellène, Perquis est en position idéale pour reprendre le ballon au point de penalty mais sa frappe du gauche passe à côté.
Avraam Papadopoulos est remplacé par son homonyme, Kyriakos Papadopoulos côté grec.
Carton jaune pour Papastathopoulos, coupable d'une faute sur Lewandowski dans un duel aérien. C'est plutôt sévère à première vue.
Le mur polonais repousse le coup franc adverse. Il y a beaucoup trop d'approximations dans les centres grecs.
Faute d'Obraniak sur le capitaine grec Karagounis. Le coup franc qui suit est placé dans l'axe mais assez loin du but polonais.
Les Grecs ont pris le contrôle du ballon depuis quelques minutes mais tardent à se montrer dangereux devant la cage de Szczesny. Le gardien d'Arsenal n'a pas eu beaucoup de travail à faire pour le moment.
Ninis se charge du coup franc. Les défenseurs polonais prennent le dessus dans les airs.
Faute de Boenisch sur Ninis. Coup franc dangereux côté droit à la limite de la surface de réparation.
Vilaine faute de Karagounis sur Obraniak. Le coup franc est justement tiré par le Bordelais, mais la défense hellène prend le dessus dans les airs.
Corner tiré par Obraniak sur le coin gauche. Perquis n'est pas loin de reprendre de la tête, mais les défenseurs grecs prennent le dessus.
Katsouranis hérite du ballon à une trentaine de mètres et tente sa chance du pied droit, mais le ballon passe nettement à côté.
Maniatis commet la faute sur Boenisch mais le coup franc est trop lointain pour être réellement dangereux.
Le public local est aux anges : Polska, Polska. C'est le scénario idéal pour ses favoris dans cette rencontre inaugurale.
La Grèce a du mal à se remettre dans le sens de la marche. Les hommes de Fernando Santos subissent le pressing incessant de la formation locale.
C'est le 15e but de Lewandowski en sélection polonaise. Notons qu'il a inscrit 22 réalisations cette saison en Bundesliga sous les couleurs du Borussia Dortmund.
But de Lewandowski ! La Pologne concrétise sa domination à la suite d'un centre parfait de Piszczek depuis le côté droit, repris au deuxième poteau par le coup de tête piqué de Lewandowski.
Lewandowski profite d'un raté de la défense grecque pour récupérer le ballon mais il se précipite et rate sa frappe.
Piszczek s'appuie sur Blaszczykowski côté droit et s'enfonce près de la ligne de corner. Sur son centre, il manque quelques centimètres à Lewandowski pour placer son coup de tête, alors que Chalkias avait un peu loupé sa sortie.
Obraniak file sur le côté droit et place un bon centre, à la réception duquel la reprise de Blaszczykowski est non cadrée.
Coup franc à 35 mètres en faveur des Grecs côté droit. Karagounis délivre un bon centre. Gekas parvient à prendre le meilleur sur les défenseurs polonais pour placer un coup de tête décroisé qui passe de peu à côté.
Pas moins de trois joueurs du Borussia Dortmund évoluent dans le onze de départ polonais : Piszczek en défense, Blaszczykowski sur l'aile droite et Lewandowski à la pointe de l'attaque.
Les Grecs tentent de faire circuler le ballon au sol, mais les Polonais sont bien organisés, avec un double rideau défensif.
Les joueurs de Smuda ont réalisé une campagne de matches amicaux particulièrement convaincante. Ils n'ont plus encaissé de but depuis cinq matches et restent sur trois victoires de rang.
Les Grecs ont du mal à repartir de l'avant et Gekas est signalé hors-jeu sur une longue ouverture.
Le corner qui suit est tiré par Obraniak sur le coin droit. La défense grecque n'est pas souveraine. Et c'est finalement Rybus qui parvient à tirer, mais le ballon passe à côté.
Première grosse occasion pour les Polonais. Chalkias réalise une superbe claquette sur une frappe enroulée par le pied gauche de Murawski.
Obraniak sert Rybus sur le côté gauche, dont le centre est contré par la défense hellène.
Polanski commet une faute à une bonne trentaine de mètres de ses buts. Au terme du coup franc qui suit, Samaras est signalé hors-jeu.
La pelouse du Stade National de Varsovie est dans un état impeccable. Les polonais évoluent dans leurs habituelles couleurs rouge et blanche, la Grèce ayant opté pour un ensemble bleu.
Coup d'envoi de la rencontre sifflé par l'arbitre espagnol, Monsieur Velasco Carballo. Ce sont les Grecs qui engagent.
C'est maintenant l'heure des hymnes. Notons que la Grèce n'a plus battu la Pologne depuis 25 ans, et six matches. C'était le 29 avril 1987 à Athènes (1-0), lors des éliminatoires de l'Euro 1988.
Le Stade National de Varsovie est évidemment tout acquis à la cause de la formation locale. Le rouge et le blanc dominent en tribunes, au moment où la cérémonie d'ouverture débute.
La Grèce, pour sa part, se présente en 4-3-3, avec un milieu très expérimenté. C'est le vétéran Gekas qui évoluera en pointe. Samaras et Ninis occupant les ailes, Salpingidis figure sur le banc, tout comme Mitroglou et Liberopoulos.
Pas de surprise dans le onze de départ polonais. Franciszek Smuda a opté pour son traditionnel 4-2-3-1. On y retrouvera les ''Français'' Perquis et Obraniak, et pas moins de cinq joueurs évoluant en Bundesliga, dont Lewandowski et Blaszczykowski.
Champions d'Europe en 2004, les Hellènes n'ont conservé que trois joueurs de l'époque : Chalkias dans les buts, Katsouranis et Karagounis dans l'entrejeu. Les hommes du Portugais Fernando Santos s'appuieront à nouveau sur leur discipline collective.
Bien que 62e au classement FIFA, l'Aigle a les moyens de franchir une phase de poules à sa portée, ce qui serait une première dans son histoire. En effet, son meilleur résultat en phase finale de l'Euro est un premier tour en 2008.
Bienvenue sur notre site. A partir de 18h00, la Pologne, pays co-organisateur, affronte la Grèce, pour la rencontre inaugurale de l'Euro 2012.
Bonjour