Grand Prix des Etats-Unis 2015

Il reste moins de dix minutes dans cette séance et plus personne ne semble décidé à rouler à nouveau. La pluie continue de tomber...

Romain Grosjean n'a pas l'air non plus de vouloir se hasarder à nouveau sur la piste. Le Français a quitté son stand pour rentrer à l'abri dans son hospitalité.

Les pilotes Mercedes ne ressortiront plus en piste. Nico Robserg a quitté sa monoplace et va se contenter de son temps actuel (2'01"474), soit près de deux secondes de plus que son coéquipier Lewis Hamilton, le plus rapide.

Nico Hulkenberg (Force India) effectue à l'instant une procédure de départ depuis la ligne droite des stands, au cas où dimanche, ce cas de figure soit privilégié pour la sécurité des pilotes.

Plus personne ne roule à présent. Est-ce que chacun se satisfait de son temps ? En tout cas, aucun pilote ne prendra le moindre risque vu la météo horrible.

Tous les pilotes ont désormais un temps à leur actif.

De nombreux pilotes sont rentrés aux stands et la piste redevient gorgée d'eau.

Il reste 25 minutes dans cette séance inhabituelle et rendue extrêmement compliquée par la pluie battante.

Sebastien Vettel (Ferrari) a fait une incursion dans l'herbe à la sortie d'un virage. Il n'a pas tapé le muret mais l'Allemand a dû effectuer une manoeuvre périlleuse en marche-arrière, pour reprendre la piste.

En avance dans chaque secteur, Lewis Hamilton (Mercedes) ne faiblit pas et signe le meilleur temps provisoire en 1'59"517. Avec ses pneus neufs, le Britannique a immédiatement fait la différence.

Lewis Hamilton (Mercedes), plutôt discret jusque-là, est dans un tour lancé. Le Britannique, qui peut être sacré champion du monde ce week-end, ne ménage pas ses efforts pour améliorer ses performances.

Felipe Massa (Williams) se hisse à la sixième place (+1"819), mais aussitôt après son passage, Nico Rosberg (Mercedes) la lui chipe. Beaucoup de voitures sont en piste et le classement évolue en permanence.

Nico Rosberg (Mercedes) fait mieux que Lewis Hamilton en 2"01"474. L'Allemand est pour l'instant classé en cinquième position.

Romain Grosjean (Lotus) signe le 10e temps (+3"507).

Felipe Nasr (Sauber) perd le contrôle de sa monoplace et tire tout droit, mais sans conséquence.

Nico Hulkenberg (Force India) se positionne à la troisième place derrière les Ferrari (+0"569), alors que la pluie battante redouble.

Après avoir changé son aileron avant, Nico Rosberg (Mercedes) ressort en piste à l'instant. L'Allemand va au moins tenter de signer un chrono, au cas où les qualifications soient plus tard annulées.

Les conditions météo s'étant dégradées d'un seul coup, il y a peu de chances que les pilotes parviennent à améliorer les chronos déjà réalisés.

Le premier quart d'heure est passé dans cette troisième séance et les deux Ferrari occupent toujours les deux premières places. Valtteri Bottas (Williams) est actuellement en troisième position devant Lewis Hamilton (Mercedes).

Max Verstappen (Toro Rosso) est par exemple parti en tête-à-queue. Sans gravité.

La pluie s'intensifie sur le circuit des Amériques et les pilotes commencent à avoir beaucoup de difficultés à maîtriser leur monoplace.

Seulement 15 pilotes ont signé un temps pour l'instant.

Sebastian Vettel (Ferrari) enchaîne et améliore son chrono en 2'00"380. L'Allemand est provisoirement en tête devant son coéquipier Kimi Räikkönen.

C'est à Sebastian Vettel (Ferrari) de prendre la tête au classement en 20'1"441. Tous les pilotes savent qu'ils doivent donner le maximum tout de suite car les temps réalisés maintenant pourraient être retenus en cas d'annulation des qualifications.

Pendant ce temps-là, son coéquipier Lewis Hamilton en profite pour signer le meilleur chrono en 2'02"561.

Comme tout le monde, Nico Rosberg est sorti très vite pour assurer un temps. Mais l'Allemand, auteur du meilleur temps en EL1 la veille, a perdu le contrôle de sa Mercedes et a tapé un muret. Il est contraint de rentrer aux stands pour réparer un aileron.

La FIA a autorisé les pilotes à sortir en piste mais il se pourrait que la séance n'aille pas à son terme compte-tenu des prévisions qui s'annoncent terribles d'ici les quelques minutes à venir.