Nous sommes en pleine Copa America, coupe qui réunit un bon nombre de techniciens de haut niveau dont les Brésiliens qui ont l’habitude de nous gratifier à chaque fois de leurs fantaisies. Ces joueurs sont assurément les plus beaux à voir jouer, c’est d’ailleurs en grande partie pour eux que l’on paie nos places : qui n’a pas jubilé devant un geste de Ronaldinho ou autres Ronaldo ?
La légende veut que les gauchers soient plus techniques et plus élégants que les droitiers, mais au-delà de ça, ils sont surtout plus rares. Cette rareté leur donne un avantage certain, rendant plus dure la tâche des défenseurs qui ont l’habitude des droitiers.
Bien que peu nombreux, il existe tout de même certains joueurs qui maîtrisent leur pied gauche aussi bien que le droit, si bien qu’on en vient à se demander quel est réellement leur pied fort ; Pirlo représente pour moi l’exemple type de cette « race » de joueurs, ceux qui peuvent effectuer sans problèmes des passes longues avec leur soi-disant mauvais pied, et ce avec quasiment autant de précision que s’ils l’avaient fait avec leur bon pied.
On dit souvent que l’arbitrage est bon lorsque l’arbitre ne fait pas parler de lui pendant la rencontre, ce qui n’est pas souvent le cas en ce moment.
L’arbitrage est en effet au cœur de nombreuses polémiques, car trop d’erreurs qui ont une influence directe sur le résultat de la rencontre sont commises. Il est cependant important de constater qu’il devient de plus en plus difficile pour les arbitres d’exercer leur métier sans se tromper, d’autant plus qu’ils ne sont pas vraiment aidés : le foot aujourd’hui va de plus en plus vite et les joueurs ne jouent pas toujours la carte du fair-play, se laissant parfois volontiers tomber.
Beaucoup de questions, peu de réponses.
En cette période de matchs internationaux, avec notamment les éliminatoires de l’Euro 2016 en France, beaucoup d’équipes doivent se battre pour gagner leur place dans cette compétition. En tant que pays organisateur, nous sommes d’ores et déjà qualifiés, et Didier Deschamps profite donc logiquement de cette période pour tester de nouveaux joueurs, ainsi que différents systèmes, comme ce fut le cas lors des deux matchs amicaux récents contre le Brésil et le Danemark.
Dans le football, comme dans tout sport collectif d’ailleurs, il y a toujours un schéma mis en place par l’entraineur. Pour ce qui nous concerne, cela peut-être du 4-2-3-1, du 4-4-2 ou bien encore du 4-3-3, mais c’est avant tout l’animation des joueurs sur le terrain qui fera la différence. Au delà du dispositif, il y a des consignes d’équipe prodigués par le coach, comme par exemple la hauteur de la défense, l’occupation ou non de la largeur, etc. Sans oublier, aussi, que chaque joueur à ses propres consignes en fonction de son poste, comme par exemple assurer le replis défensif, ou effectuer un pressing plus intense. Bien sûr, pendant un match, certains joueurs dépassent leur fonction, il n’est pas rare ainsi de voir un milieu défensif se muer en buteur l’espace d’un moment.
En marge du choc de ce soir entre le PSG et Chelsea, les blessures de tel ou tel joueur ont fait couler beaucoup d’encre. A raison, puisqu’elles vont avoir un impact probablement important sur la rencontre.
La blessure est le pire ennemi du footballeur, amateur ou professionnel, et elle n’a pas toujours d’explication. Le Karma a ses raisons que le Karma n’explique pas… Cela étant dit, nous sommes tout de même en droit de nous poser des questions quand ces blessures arrivent en cascade, comme c’est le cas pour Arsenal, Lyon, et depuis ce week-end, Paris donc.
En ces période de fêtes, tout le monde n’est pas vraiment en vacances. Je pense en particulier au Boxing Day, où les équipes de BPL s’affrontent à un rythme effréné, avec un match toutes les 48 heures. Pendant cette période, la gestion des joueurs, ainsi que le coaching, sont primordiaux afin de ne pas griller les joueurs physiquement, et ainsi éviter toutes les blessures qui peuvent s’avérer préjudiciable pour la suite de la saison. Pour les entraineurs, il est donc important de faire tourner leur effectif, les équipes ayant une grande profondeur de banc étant clairement avantagées.
Doit-on respecter le poste de prédilection des joueurs dans FIFA 15 ou au contraire, ne pas hésiter à les repositionner ? Voilà une question plutôt intéressante que bon nombre d’entre nous pouvons nous poser.
Il y a plusieurs types de repositionnement allant des plus logiques aux plus étranges… Le plus souvent, ce sont les défenseurs et les ailiers qui en sont touchés suivant leur pied fort. Dans le football, beaucoup d’entraîneurs adorent positionner des droitiers sur le côté gauche et inversement et dans FIFA aussi cela fonctionne plutôt bien, mais évidemment, cela dépend entièrement de votre style de jeu. D’ailleurs, il n’est pas rare non plus de voir les ailiers permuter entre eux au cours d’un match afin de déstabiliser l’équipe adversaire.
Voilà une quinzaine de jours que j’ai eu la chance de rencontrer l’équipe de France de tennis lors de son stage de préparation pour la finale de la Coupe Davis.
C’est donc à Bordeaux (lieu d’entraînement des hommes d’Arnaud Clément, capitaine des Bleus) que je me suis rendu, accompagné de Yassine, mon manager, afin de passer une soirée aux côtés de Gaël Monfils, Richard Gasquet, Jo-Wilfried Tsonga, Gilles Simon, ainsi que leur staff.
Ici, en compagnie des « grands » joueurs de l’équipe de France de tennis !
Cela fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion d’écrire quelques lignes sur ce blog, et avant de commencer je voulais m’en excuser. Je tacherais d’être plus présent sur FIFA 15, avec autant de sujets intéressants à aborder !
La polémique « Willy Sagnol » a remis sur le tapis un débat éternel du football : faut-il privilégier des joueurs athlétiques et puissants au détriment de joueurs qui le sont moins, mais qui sont eux en général plus agiles et rapides, voir techniques. En effet, peu de joueurs peuvent se targuer de réunir toutes ces qualités à la fois…
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