Coupe de France, Monaco 0-1 Paris-SG : Terminé ( Finale )

Park se bat jusqu'au bout, il devance Traoré mais ne peut battre Edel qui intervient encore in extremis.

Le danger pour Paris vient des ballons aériens, seule arme utilisée par les Monégasques. Traoré se troue pour sa première intervention mais Edel capte sans trop de souci.

Jallet, le meilleur Parisien, sort, perclus de crampes. Il est remplacé par le grand Sammy Traoré.

Nenê tire un énième corner. Il trouve la tête d'un équipier mais Edel est impeccable.

Costa, chaud comme la braise, sort pour Sagbo côté monégasque.

Costa écope lui-aussi de son carton.

La partie commence à dégénérer à cause d'un arbitre qui ne tient pas son match. Hoarau tacle sévèrement Costa et une échauffourée démarre. Hoarau est averti.

Monaco se livre enfin. Paris recule un peu trop sûrement. Le Stade de France est en fusion.

Paris donne le coup d'envoi des quinze dernières minutes.

C'est la mi-temps des prolongations.

Ceara remplace Erding.

Mongongu est averti pour une grosse charge sur Luyindula.

Monaco ne joue qu'en contre. Le pauvre Maazou est seul en pointe, il est bombardé par les longs ballons de ses équipiers sans aucun succès.

Jallet prend sa chance de loin, il allume la mèche, la frappe est lourde mais ne trompe pas Ruffier.

Sessegnon est servi sur la droite, côté qu'il occupe depuis la sortie de Giuly. Il obtient un corner qui ne donne rien.

Sessegnon tente encore de provoquer. Il gagne la touche. Dans la continuité, Hoarau est sur la trajectoire d'un long centre mais perd son duel avec Ruffier.

Monaco fait circuler, met le crampon sur le cuir. Les Parisiens semblent souffrir physiquement. La défense a du mal à se dégager.

Maazou est à la retombée d'un lointain coup franc, il remise pour Park qui enchaîne la frappe sans trouver le cadre.

Ruffier intervient encore devant Hoarau, bien servi par Luyindula. Le Réunionnais a raté son contrôle et permis au portier de le devancer.

C'est parti pour les prolongations. Monaco donne le coup d'envoi de la première période de quiinze minutes.

Erding obtient le dernier corner du temps réglementaire. Hoarau met la tête mais ne peut rabattre sa reprise.

On se dirige tranquillement vers les prolongations. Monaco n'attend que cela.

Ruffier intervient dans les airs sur un coup de pied de coin parisien.

Maazou, le joker de luxe monégasque, remplace Pino, un des meilleurs joueurs ce soir.

Paris développe un beau mouvement collectif, le ballon circule bien et avance vite vers le but de Ruffier. Jallet va au contact, trouve Sessegnon sur la droite. Le Béninois centre mais le portier monégasque est sur la trajectoire.

Sessegnon provoque Harune et obtient un coup franc. Jallet le tire dans la boîte. La défense renvoie. Le contre se développe mais Jallet stoppe net Pino.

Alonso, le capitaine princier, prend sa chance de loin. Il dévisse complètement sa frappe qui atterrit au pied de la tour Eiffel.

Pino fait montre de toute sa vitesse sur le côté gauche. Edel lui coupe la trajectoire.

Luyindula remplace Giuly pour le PSG.

Giuly récupère un ballon mal renvoyé par la défense. Il contrôle et enchaîne la frappe. Elle frôle le poteau de Ruffier.

Giuly centre à son tour, il lobe légèrement Hoarau. Le ballon va donc au second poteau où il n'y a jamais de Parisien.

Le jeu parisien penche à droite. Jallet et Giuly essayent de mettre du rythme. Le latéral a le temps de centrer mais son ballon est encore bien trop long. Monaco se dégage.

Le match tombe dans un faux rythme. Les organismes ont besoin de récupérer, surtout ceux des Parisiens.

Nenê obtient un énième corner. Il le tire lui-même mais cela ne donne rien.

Hoarau et Mongongu sont à la lutte devant les seize mètres de Ruffier. L'attaquant réunionnais est sanctionné.

Paris baisse physiquement et n'assure toujours pas les dernières passes. Monaco en profite et n'a jamais été aussi dangereux.

Pino a encore du champ sur la gauche, il s'applique sur son centre tir. Il ne trouve pas d'attaquant mais manque de tromper Edel.

Erding est servi dans la profondeur. Le ballon de Sessegnon est un peu long. Ruffier intervient sans problème.

Une altercation entre Nenê et Makele se termine par un jaune pour le Brésilien qui a mis une petite claque au milieu parisien.

Makele souhaite la bienvenue à Haruna et le tacle sèchement. Il est averti.

Monaco est dans une bonne période. Les pensionnaires du Rocher mettent plus d'intensité. Ils obtiennent un coup franc que Nenê dépose dans la surface. Une tête parisienne dégage.

Pino et Nenê défient quatre Parisiens, ils sont très rapides et combinent à merveille. Pino est servi par le Brésilien. Il tire au but mais Edel est sur la trajectoire.

Haruna remplace Mangani pour l'ASM.

Le ralenti a montré qu'il y avait probablement penalty sur Erding.

Jallet récupère le cuir dans la surface, il est acculé sur la ligne des six mètres et centre en retrait trouver de Parisiens.

Erding est accroché dans la surface, il réclame un penalty mais l'arbitre ne bronche pas.

Erding est alerté par une balle aérienne sur la gauche. Le Turc enchaîne le centre tir devant le but. Hoarau ne peut reprendre, il est trop court.

Nenê obtient un corner. Il le tire lui-même depuis la gauche. Edel intervient dans les cieux de Paris.

Monaco semble plus présent et récupère plus de ballons. Nenê part de loin, il perd le cuir. Sessegnon démarre, il a du champ, il alerte Hoarau qui contrôle et enchaîne la frappe. Il n'accroche pas le cadre avec son pied gauche.

Paris est revenu avec les mêmes intentions qu'en première période. Les hommes de la capitale pressent toujours autant. Hoarau efface son vis-à-vis sur le contrôle, il démarre mais marche sur le ballon.

Les Monégasques donnent le coup d'envoi de la seconde période.

Les Monégasques finissent bien la première période.

Les Parisiens continuent de presser très haut. Clément récupère, il trouve Giuly qui alerte Erding. Ruffier est encore très vigilant, il coupe la trajectoire.

Nenê a une belle protection de balle, il provoque la faute de Clément. Le Brésilien frappe le coup franc, il trouve la tête de Puygrenier dont la reprise passe largement au-dessus.

Jallet tente sa chance de loin, il est aux 25 mètres et son ballon manque de retomber dans le cadre. Ruffier était sur la trajectoire.

Le contre monégasque se développe. Park est déjà devant le but d'Edel, il centre mais Armand a mis son corps en opposition pour devancer Nenê.

Erding est de nouveau sollicité. Il pêche de nouveau dans la dernière passe son centre est trop long et lobe tout le monde.

Hoarau et Erding s'entendent bien. Le premier décale le second sur la gauche de la surface. Une jambe monégasque vient dévier in extremis le cuir. Le corner ne donne rien.

Les Parisiens ont eu deux grosses occasions et n'ont toujours pas marqué. Nenê part en contre, il est bien contrôlé par la défense qui sollicite son gardien. Edel dégage sous la pression.

Park obtient un bon coup franc à l'entrée de la surface. Jallet était en retard. Nenê enveloppe son coup de pied arrêté mais le cuir ne retombe pas assez vite et sort en six mètres.

Erding est servi dans le dos de la défense, il contrôle et enchaîne la frappe. But ! L'international turc était hors-jeu.

Jallet déborde sur la droite, il repique au centre, trouve Giuly qui veut frapper mais il tergiverse et centre. La défense renvoie sur Jallet qui veut en remettre une couche mais il perd le cuir le long de la ligne de six mètres.

Alonso est averti pour un coup de coude sur Sessegnon.

Les Monégasques jouent vraiment comme à l'extérieur. Ils laissent venir des Parisiens qui font le jeu.

La domination parisienne est de tous les instants mais demeure inefficace. Monaco est dangereux en contre avec Nenê, Park... Les hommes de la capitale sont très remontés.

Erding fait un bon appel en profondeur, il contrôle, feinte le centre avant de démarrer. Il a le temps de s'appliquer sur le centre mais la dernière passe lui échappe. Le jeu revient avec Armand qui frappe des 20 mètres, il est contré en corner.

Giuly exerce un bon pressing, il se bat comme un beau diable. Il concède une touche. Monaco alerte Nenê qui perd le cuir.

Monaco enchaîne deux corners consécutifs sans réellement gêner Edel qui ne semble pas au mieux dans les airs.

Makele obtient une faute au milieu de terrain. Le coup frnac est frappé loin devant pour Erding qui ne peut contrôler. Ruffier vient porter le danger dans la surface parisienne avec un long six mètres. Le PSG concède un corner.

L'ambiance est assez bruyante dans le Stade de France. Le PSG est soutenu par 74000 personnes.

Les deux équipes sont entrées très rapidement dans le match. Sessegnon est sur la droite, il centre de l'extérieur, la défense dévie, Giuly peut reprendre de volée mais sa frappe lui échappe.

Armand veut passer Pino mais ce n'est plus Quevilly, il se fait prendre. Pino le prend à la vitesse le long de la ligne de touche. Le Monégasque enchaîne les passements de jambe mais ne voit pas le retour de Clément.

Les Parisiens sont immédiatement à la manoeuvre, ils tentent de passer par le côté avec Giuly, il décale Jallet qui donne dans la profondeur... c'est trop long.

Les équipes entrent sur le pré de Saint-Denis. La Marseillaise retentit dans les travées du SDF.

Le PSG a déjà remporté sept Coupes, la dernière en 2006 avec un but de Dhorasso face à Marseille.

Le dispositif policier est dense autour de l'enceinte championne du monde.

Les Monégasques ont gagné les deux rencontres de championnat qui les opposaient aux Parisiens, ils ont également eu une très bonne période au cours de la saison, ils sont donc favoris mais le PSG jouera à "domicile". Seuls 8000 Monégasques sont attendus.

La manne financière de l'Europe ne peut être négligée par ces deux clubs à la poursuite de leur glorieux passé, de leur lustre d'antan.

La rencontre est donc primordiale pour les deux formations qui devraient aligner leur équipe type. Les effectifs ont évolué en dessous de leur niveau tout au long de la saison et vont avoir à coeur de démontrer leur qualité jusque là supposée.

Le PSG et l'ASM se retrouvent au Stade de France pour en découdre. Le vainqueur sauvera une saison médiocre, Monaco est neuvième de Ligue 1 alors que Paris se traîne à la onzième place, s'octroiera la Coupe de France et une place en Ligue Europa.