Les Tchèques se relancent dans cet Euro grâce à une entame parfaite. Une erreur de Cech a remis les Grecs dans le match mais leur potentiel offensif était trop limité pour arracher le nul. Chaque équipe a eu sa période dans un match pauvre en occasions.
Long ballon dans la surface tchèque, M.Lannoy siffle ... non pas pour un penalty mais pour une faute d'un attaquant grec.
Il y aura trois minutes de temps additionnel.
Rajtoral remplace Kolar. Etonnant car le Tchèque était entré à la pause.
Les Tchèques essayent de gagner du temps en jouant le corner à la Rémoise mais les Grecs obtiennent un coup franc et peuvent récupérer le ballon.
Les Grecs recommencent à balancer de longs ballons aériens vers la surface adverse. Option stérile pour le moment.
La possession s'est inversée par rapport à la première période. Cette fois, c'est la Grèce qui a le ballon 53% du temps contre 47% pour les Tchèques.
Les duels sont acharnés, le pressing total mais cela manque d'occasions de but !
Aucun des 13 derniers matches de la République tchèque en phase finale de l'Euro ne s'est soldé par un nul. Son dernier remonte au 26 juin 1996 en demi-finale contre la France.
Le match est tendu. Les Grecs sont transfigurés par rapport à la première période mais les Tchèques résistent bien et même s'ils ont décidé de laisser le ballon à l'adversaire, ils défendent avec beaucoup d'abnégation.
La sortie de leur métronome Rosicky à la pause et ce but casquette ont complètement destabilisé cette équipe tchèque qui avait le match en main.
Mitroglou remplace Fortounis.
1er corner grec du match. La pression se fait de plus en plus forte sur la défense tchèque. Le match est loin d'être terminé !
Maniatis s'essaye de plus de 27 mètres mais sans trouver le cadre, loin de là. Les Grecs ont du mal à perforer le dernier rideau défensif adverse.
Carton jaune pour Kolar, auteur d'une nouvelle faute sur Fortounis.
Pekhart remplace Baros qui n'a rien montré dans ce match.
En 13 matches disputés lors de la phase finale de l'Euro, la Grèce n'a jamais marqué plus d'un but sauf lors du match d'ouverture contre le Portugal en 2004 (2-1).
Intervention des poings de Cech sur un coup franc de Karagounis que convoitait Papadopoulos de la tête.
Le match se durcit. Les fautes s'enchainent et le public met la pression sur les joueurs et le corps arbitral.
Carton jaune pour Salpingidis alors que son tacle certes viril, n'avait touché que le ballon.
Carton jaune pour Papadopoulos pour un tacle en retard sur Baros.
Cech fait une faute de main sur un ballon anodin dans sa surface. Mésentente avec son défenseur Sivok, les deux joueurs se gênent et Gekas en profite pour propulser le ballon dans le but vide. Le match est relancé !
Baros est l'un des seuls Tchèques à se montrer discret et maladroit dans ses initiatives et interventions. Le meilleur buteur de l'Euro 2004 n'est pas dans son assiette.
Les Tchèques démarrent une nouvelle fois fort avec Gebre Selassie qui rentre dans la surface adverse avant de se faire contrer au dernier moment.
Plus surprenant, Kolar qui remplace Rosicky pour les Tchèques.
Gekas remplace Fotakis dans les rangs grecs. Un attaquant pour un milieu de terrain.
Reprise.
Un départ tonitruant et voilà la RTC qui se relance complètement dans cet Euro face à une équipe grecque apathique. Chalkias, pas exempt de tout reproche, est rapidement sorti sur blessure dans une 1ère période complètement dominée par les Tchèques.
Il y aura une minute de temps additionnel.
A noter que c'était le premier tir cadré des Grecs et si le but avait été validé, Cech aurait encaissé un 5e but dans la compétition sur 6 tirs cadrés. En effet le gardien de Chelsea a encaissé 4 buts contre la Russie sur 5 tirs cadrés.
Le match aurait pu être relancé si le but avait été valable mais l'arbitre assistant a bien jugé même si c'était très juste.
Sur un centre de Torosidis venu de la droite, Fotakis s'impose de la tête et bat Cech d'une tête piquée mais le but est refusé pour une légère position de hors jeu.
Au niveau statistique, domination des Tchèques dans tous les domaines : 53% contre 47% pour la possession du ballon. 5 tirs à 0 et 3 corners à 0.
Salpingidis est pris pour la troisième fois en position de hors jeu. Il se plaint d'une faute mais c'est plutôt un signe d'impuissance.
Carton jaune pour Jiracek pour un pied haut et dangereux sur un dégagement de Maniatis.
Carton jaune pour Torosidis, auteur d'une intervention limite sur Pilar.
Les lignes grecques sont trop éloignées. Il n'y a pas assez de solutions pour le porteur du ballon.
Limbersky avance, provoque, percute jusqu'à la surface adverse. Il obtient un nouveau corner pour la RTC.
Les Grecs n'arrivent pas à construire et s'evertuent toujours à balancer de longs ballons vers l'avant en direction de Samaras, trop esseulé face à la défense adverse.
Première intervention pour Sifakis sur un tir à ras de terre de Rosicky de 25 mètres. Le portier détourne en corner.
Karagounis prend les crampons de Rosicky sur la tête et sur l'épaule sur un duel. C'est plus involontaire qu'autre chose mais le Grec en rajoute et il provoque la sanction du Tchèque.
Les Tchèques monopolisent le ballon au milieu de terrain et commencent déjà à gérer le match.
Sifakis, le gardien de l'Aris Salonique, remplace Chalkias dans les buts grecs.
Chalkias dégage volontairement le ballon en touche. Le portier semble blessé et demande à être remplacé. Le doyen de l'Euro doit quitter ses partenaires.
Pilar rentre dans l'axe de son côté gauche et déclenche une frappe trop écrasée du pied droit qui n'est pas cadrée.
La Grèce est empruntée, traumatisée par ces deux buts d'entrée. Elle cherche son jeu et saute souvent le milieu pour envoyer de longs ballons aériens vers Samaras.
Pilar est intenable sur son côté gauche. Déjà buteur contre la Russie, le nouveau joueur de Wolfsburg pose beaucoup de soucis à la défense adverse.
Coup franc de Karagounis en direction de la surface adverse mais l'arbitre signale une faute grecque.
Avant ce match, la Grèce n'avait perdu qu'un seul de ses 22 derniers matches officiels depuis son élimination en phase de groupes de la Coupe du monde 2010.
Début de match parfait pour la République tchèque qui a surpris une équipe de Grèce apathique et pas encore dans son match.
Ouverture sur la droite pour Gebre Selassie qui déborde et centre fort devant le but, Chalkias touche le ballon sans pouvoir le dégager, Pilar a bien suivi et marque en trébuchant malgré l'intervention de Katsouranis.
Sur une passe en profondeur de Hubschman, Jiracek prend l'intervalle, contrôle le ballon dans la course avant de battre Chalkias d'une frappe de l'intérieur du pied gauche que le portier ne peut qu'effleurer.
M.Lannoy siffle le coup d'envoi de la rencontre. Ce sont les Grecs qui engagent.
Les trois rencontres entre les deux nations n'ont produit qu'un seul but, signé Traianos Dellas en demi-finale de l'Euro 2004, à la 105e minute.
La Grèce est invaincue contre la République tchèque avec un bilan de 1 victoire et 2 matches nuls, n'encaissant au passage aucun but.
Côté grec, Il y a dans le groupe trois rescapés de la victoire de 2004 : Karagounis, Kostas Katsouranis et Kostas Chalkias.
C'est une revanche de la demi-finale de 2004 qui reste sans doute encore en travers de la gorge des supporters tchèques (0-1 b.e.a).
Pour la République tchèque, deux changements par rapport à la formation qui s'est lourdement inclinée contre la Russie (1-4). David Limbersky et Tomas Hübschman débuteront la rencontre.
Des changements dans le onze aligné ce soir par la Grèce par rapport au match contre la Pologne : titularisation notamment de Kyriakos Papadopoulos, Dimitris Salpingidis, et Kostas Fortounis.
Bienvenue sur notre site pour suivre en direct la recontre du groupe A opposant la Grèce à la République tchèque.
Les buteurs : Pour GRECE : Theofanis Gekas (53e ), - Pour REP. TCHEQUE : Petr Jiracek (3e ), Vaclav Pilar (6e ),