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Les contraintes des services et l'absence de réponse aux doléances du public
L'hérédité administrative
Publié dans La Nouvelle République le 14 - 05 - 2025

Je salue, très cordialement, tous les membres de l'équipe de rédaction, les prie de bien vouloir m'excuser d'user de leur temps précieux et les solliciter pour réserver une petite place à ma contribution, dans l'une des rubriques, en les assurant que toutes les précautions ont été prises pour qu'il n'y ait pas d'indice qui pourrait être contraire au point de vue éditorial ou ne nuirait à des intérêts quelconques, afin d'exprimer, en toute honnêteté et quiétude, sur l'«hérédité administrative», les comportements d'un certain nombre de dirigeants dans nos administrations publiques, particulièrement, les établissements publics à caractère administratif (EPA), qui souffrent de multiples contraintes, gênant et entravant leur développement à travers le territoire national.
Par ailleurs, le grand nombre (quantité) mesure l'audience et la représentativité politique, dans l'Administratives, les chiffres mesurent les réalisations. Les Institutions chargées de la formation des Cadres, surtout, Gestionnaires, n'incluent pas dans les programmes des thèmes relatifs à l'initiation aux statistiques. Cette matière est une discipline qui étudie les phénomènes à travers la collecte de données, leurs traitements, analyses, interprétation et présentation, afin de rendre ces données compréhensibles par tous. Les Organes de presse ont aussi une part de responsabilité dans ce flou (imprécision). Pourquoi vantée la libre expression sans la liberté d'expression, puisqu'ils refusent de diffuser les contributions des lecteurs, même si les sujets sont d'intérêt général ? Et à quoi servent les écrits des citoyens, si les Administrations ne répondent pas, même s'il s'agit d'attirer leur attention sur des problèmes ? Alors que l'Etat a autorisé l'éclosion d'organes de presse, démocratisé l'accès à internet etc.
VI.- Conclusion : Je sais que gérer un Secteur, c'est assumer l'ensemble des responsabilités, en couvrant la politique sectorielle, les pratiques, et procédures exercées par un exécutif (Administration Centrale), pour fournir des orientations stratégiques, garantir l'atteinte d'objectifs, gérer les risques et utiliser à bon escient les ressources humaines, financières et patrimoniales, de manière responsable et avec obligation de rendre des comptes. Peu importe comment le monde évolue, la bonne organisation et la gestion efficace aident à créer de la valeur et à la protéger au fil du temps et des circonstances.
Egalement, convaincu que le bon pilotage, des projets habituels ou prioritaires, nécessite un recentrage des actions sur l'impact concret dans la vie citoyenne et de l'Entité, en passant d'une logique bureaucratique à une logique orientée vers des résultats en prenant compte des spécificités locales. Car l'enjeu est double, il est opérationnel (c'est assurer que les politiques atteignent des cibles concrètes et visées) et démocratique (c'est renforcer la confiance et permettre aux acteurs-partenaires de terrain de prendre des initiatives adaptées aux besoins régionaux spécifiques, en associant les Services Centraux et les professionnels, tout en réduisant le principe de centralisation pour plus de liberté dans l'action de terrain.
La présente approche implique, que les Services, relevant du Secteur concerné, bénéficient d'une certaine liberté de manœuvre, ainsi que des moyens pour agir, et mettre fin à l'actuel modèle centralisé où les Services de terrain exécutent, sans marge d'initiative, les décisions venues de l'Administration Centrale. Dans cette logique de délégation, la dérogation de pouvoir doit être octroyé aux Services décentralisés (Wilayas) pour atténuer l'application, lorsque les situations locales l'exigent, d'une part, et un droit à l'erreur reconnu pour encourager l'audace et l'initiative, en allégeant les éventuelles sanctions. Le changement repose, essentiellement, sur l'intelligence collective, car les problèmes peuvent être complexes et nécessitent la coopération de multiples acteurs internes et externes. L'amélioration ou la modernisation d'un Secteur le rend plus agile et connecté aux attentes de l'environnement et des spécificités locales.
Antoine de Saint Exupéry a dit «L'avenir c'est le présent à mettre en ordre, il n'est pas à prévoir, mais à le permettre». Prenant en considération cette citation, il faut accepter que dans tous les domaines, il est normal de s'interroger sur le devenir de ce qui est confié (l'existant), pour cela, obligatoirement, on se retourne vers le passé pour expliquer le présent qui lui-même conditionne l'avenir. Le passé est, toujours, reconstruit et recomposé en fonction des préoccupations du présent, qui est, donc, constamment revu.
En effet, l'étude de l'existant est la première étape qui, avant l'élaboration de stratégies ou politiques prospectives, constitue le point de passage obligé qui matérialise le premier contact du nouveau Responsable avec le domaine confié. Ce qui sous-tend la possibilité de relier cette étude préalable à l'étude d'opportunité qui va suivre. Quelque soit le type d'analyse de l'existant choisi, généralement, il comporte trois volets : L'analyse interne, externe et du public. Chacune répond à une question-clé, respectivement (qui suis-je ?), (comment suis-je perçu ?) et (à qui dois-je m'adresser ?). Le recensement, des forces et faiblesses(énumération des moyens, contraintes et objectifs propres de l'Organisme concerné, prépare l'étape d'étude (analyse), ce qui correspond à la phase d'élaboration de stratégies répondant à la question (Que dois-je faire?).
Remarque :L'analyse interne est suivie, généralement par celles externe et du public. L'analyse externe ou de l'environnement se scinde en deux.
La première se charge de dépeindre le contexte, l'ambiance dans laquelle évolue le Secteur ou l'Organisme concerné, la seconde décrit les rapports liant ce Secteur ou cet Organisme aux autres avec lesquels il est en contact. Toujours dans un esprit de clartL'essentiel est de parvenir à connaître ou à avoir une vue des plus claires de l'Institution confiée (héritée) sur laquelle s'appuieront les objectifs à venir. On ne peut améliorer un domaine public que si on favorise la confiance entre les parties prenantes, partage les préoccupations de chacun et intègre les améliorations dans le système existant, en créant une forme de cercle inspiré par la vertu et rallier un fort soutien aux équipes pour tous les projets.
Suite et fin…


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