Hesdin-la-Forêt
Hesdin-la-Forêt | ||||
L'hôtel de ville d'Hesdin, monument historique, et le beffroi, patrimoine mondial de l'UNESCO. | ||||
Administration | ||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | |||
Département | Pas-de-Calais | |||
Arrondissement | Montreuil | |||
Intercommunalité | Communauté de communes des 7 Vallées (siège) |
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Maire Mandat |
Matthieu Demoncheaux 2025-2026 |
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Code postal | 62140 | |||
Code commune | 62447 | |||
Démographie | ||||
Population municipale |
4 494 hab. (2022) | |||
Densité | 211 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 50° 22′ 27″ nord, 2° 02′ 12″ est | |||
Superficie | 21,26 km2 | |||
Unité urbaine | Hesdin (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Hesdin (commune-centre) |
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Élections | ||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | |||
Législatives | Quatrième circonscription | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Hesdin-la-Forêt est une commune nouvelle française depuis le dans le département du Pas-de-Calais et la région des Hauts-de-France. Elle résulte de la fusion des communes de Hesdin, Huby-Saint-Leu, Marconne et Sainte-Austreberthe. La commune est le siège de la communauté de communes des 7 Vallées.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Hesdin-la-Forêt est une commune du Ternois, pays picard dans le Pas-de-Calais, à 22 km à l'ouest de Saint-Pol-sur-Ternoise, à 26 km à l'est de Montreuil-sur-Mer, 36 km au nord d'Abbeville, et à 50 km à l'ouest d'Arras.
Les communes limitrophes sont Aubin-Saint-Vaast, Brévillers, Capelle-lès-Hesdin, Cavron-Saint-Martin, Contes, Grigny, Guisy, La Loge, Le Parcq, Le Quesnoy-en-Artois, Marconnelle, Saint-Georges et Wamin.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Les quatre communes d'Hesdin, Huby-Saint-Leu, Marconne et Sainte-Austreberthe fusionnent pour former la commune d'Hesdin-la-Forêt en 2025.
Hesdin
[modifier | modifier le code]Hesdin est une ville forte construite en 1554 par Charles-Quint après la destruction du Vieil-Hesdin, construite sur le village de Marconne au lieu-dit « le Maisnil », à six kilomètres environ du Vieil-Hesdin.
Le nom primaire de la localité est attesté sous les formes Maisnils, Mainil au XIIe siècle ; Maisnilg en 1257 ; El Maisnil au XIIIe siècle ; Le Maisgnil en 1365 ; Le Maisnil-lez-Hesdin en 1366 ; puis sous les formes Hesdin-Fort en 1559 ; Hesdin-Fert en 1560 ; Le nouveau Hesdin en 1585 ; Esdan en 1591 ; Hédin au XVIe siècle ; Hesdain en 1685; Hesdin en 1793 et depuis 1801.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Le Pelletier-sur-Canche.
Huby-Saint-Leu
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité d'Huby-Saint-Leu est attesté sous les formes Hubi en 1077 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 18), Huby en 1112 (Miræus, t. I, p. 170), Hupi en 1157 (Gall. christ., t. X, instr., col. 316), Hubui au XIIe siècle (abb. de Cercamp), Huppi en 1477 (terr. de l’hôtel-Dieu de Montreuil), Hubby en 1512 (Tassart, pouillé, f° 206 v°).
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Blanc en 1793 (loi de brum. an II).
Le Petit-Saint-Leu est un écart de la commune.
Saint-Leu est un hagiotoponyme.
Marconne
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité de Marconne est attesté sous les formes Marcona vers 1120 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 35), Marchone au XIIe siècle (cart. de Saint-Georges, f° 47 r°), Marchona en 1200 (D. Bét., cart. d’Auchy, p. 80), Marcoune en 1371 (ch. de Saint-Bert., n° 1788) ; Marconne en 1793 et depuis 1801.
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Fontaine-Libre en 1793 (loi de Brumaire an II).
Sainte-Austreberthe
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité de Sainte-Austreberthe est attesté sous les formes Villa Beate Austroberte sub Hesdinio (1220) ; Saincte Austroberte (1229) ; Villa Sancte Austreberte (1248) ; Saincte Osteberte (1290) ; Sancta Ostreberta, Sainte-Esteberghe (1301) ; Sainte-Autoberte (1375) ; Sainte-Austerberthe (1469) ; Sainte-Austreberthe-en-Hesdin (1507)[1].
Sainte-Austreberthe est un hagiotoponyme qui fait référence à Austreberthe de Pavilly.
Durant la Révolution, la commune porte les noms de L'Égalité-sur-Canche et de Montagne-sur-Canche.
Histoire
[modifier | modifier le code]La commune est créée le à la suite d'un arrêté préfectoral du [2] par la fusion des communes de Hesdin, Huby-Saint-Leu, Marconne et Sainte-Austreberthe. Le chef-lieu de la commune nouvelle est fixé à la mairie de l'ancienne commune de Hesdin.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées regroupant 66 communes et totalisant 29 425 habitants en 2022.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée au Canton d'Auxi-le-Château.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Jusqu'aux prochaines élections municipales françaises de 2026, le conseil municipal de la commune nouvelle est constitué de l'ensemble des membres en exercice des conseils municipaux des quatre communes fondatrices.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Communes déléguées
[modifier | modifier le code]Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
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Hesdin (siège) |
62447 | CC des 7 Vallées | 0,93 | 2 225 (2022) | 2 392 |
Huby-Saint-Leu | 62461 | CC des 7 Vallées | 12,44 | 840 (2022) | 68 |
Marconne | 62549 | CC des 7 Vallées | 4,18 | 1 067 (2022) | 255 |
Sainte-Austreberthe | 62743 | CC des 7 Vallées | 3,71 | 362 (2022) | 98 |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2022, la commune comptait 4 494 habitants[Note 2].
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine mondial de l'UNESCO
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- Le beffroi est inscrit le au patrimoine mondial par l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco).
- Très endommagé à la suite de la conquête française, il est restauré au XIXe siècle grâce à un legs de Daniel Lereuil. Le toit du clocheton (en plomb) comporte des graffitis en allemand (gravure au poignard) témoignant de la présence d'une sentinelle allemande durant la Seconde guerre mondiale. L'escalier intérieur a en partie brûlé à la suite d'un incendie provoqué par un feu d'artifice tiré depuis le toit de la mairie dans les années 1980. Le carillon a été très récemment restauré, pour un résultat très proche de la mélodie d'origine (propre à Hesdin-la-Forêt)[5].
Monuments historiques
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La commune est riche de seize monuments historiques.
- L'hôtel de ville des XVIe et XVIIe siècles, restauré au XIXe siècle grâce à un don de Pierre Lereuil, faisant l’objet d’une inscription depuis le , comprenant une bretèche du XVIIe siècle réalisée par Jacques Bidan, Pierre Guimopre et Roussel faisant l’objet d’une inscription depuis le [6] et un beffroi faisant l’objet d’une inscription depuis le [7].
- L'église Notre-Dame, édifiée en gothique de brique tardif jusqu'à 1554, addition d'un portail du style Renaissance en 1585, addition début XXe siècle d'une abside dite « grotte de la vierge » (par référence à la grotte de Lourdes, et comportant de nombreux ex-voto). Parmi les tableaux, une Tête de Vierge et une Tête de Saint Jean sont attribués à Murillo. Ce bâtiment fait l’objet d’une inscription depuis le et le portail est classé depuis le [8].
- L'abbaye de Saint-André-aux-Bois, rue de la Paroisse et rue du Général-Tripier, datant de 1633. Ce bâtiment fait l’objet d’une inscription depuis le [9].
- L'ancien hôtel de 1774, 17 rue du Lion-d'Or, inscrit depuis le [10].
- L'ancien hospice Saint-Jean, puis collège des Jésuites. Portail sur rue ; façades et toitures des deux pavillons qui encadrent le portail ; façades et toitures du bâtiment au fond de la cour et de son aile en retour au nord-est ; la chapelle de style néo-gothique (fin XIXe siècle conçue par Clovis Normand, sur un terrain en forme de « L » (cad. A. 878, 879) auquel elle doit son originalité : inscription par arrêté du [11].
- L'hôtel de Songeat, de 1750, no 10 rue des Nobles, inscrit depuis le [12].
- La maison de 1775, no 4 rue des Nobles, anciennement no 2, inscrite depuis le [13].
- La maison au no 6 rue des Nobles ; anciennement no 4, façades et toitures : inscription par arrêté du [14].
- La maison au no 8 rue des Nobles ; anciennement no 6, façades et toitures : inscription par arrêté du [15].
- La maison natale de l'abbé Prévost de 1560, no 11 rue Daniel-Lereuil, inscrite depuis le [16].
- L'église Saint-Leu, inscrite au titre des monuments historiques[17] par arrêté du , église qui nécessite une réhabilitation[18].
En 2025, la volonté municipale aidée par le mémoire réalisé par Bruno Béthouart ont permis à cinq nouveaux bâtiments de l'histoire de l'ancienne ville de garnison d'être inscrits au titre des monuments historiques : la salle du Manège, le pavillon Richelieu, la caserne Tripier, l’orillon de bastion Richelieu et la maison de Clovis Normand[19].
Autres lieux et monuments
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- Deux maisons côte à côte rue du général Leclerc :
- la petite maison dite « du père Brassard », ancien pavillon de l'octroi d'Hesdin, considérée comme la plus ancienne maison d'Hesdin encore debout, laissée à l'abandon depuis des décennies, et dont la restauration est en cours depuis 2015[20] ;
- la maison de Clovis Normand, couverte de carreaux de céramiques et garnie de nombreuses sculptures, dont l'état de dégradation interdit le classement.
- Ancienne brasserie-malterie, dont le porche d'entrée indique la date de 1696, 11 rue des Nobles[21].
- Le prieuré Saint-Georges d'Hesdin[22],[23].
- Les écuries, datant du XVIIe siècle, sise au 22, rue du Manège. Centre d’art contemporain dans les années 1990, elles ont accueilli des artistes comme Raymond Mason et Sabine Weiss. À la suite d'une donation en 2023 de Roger Houzel, et après délibération du conseil municipal, les écuries deviennent propriété de la commune[24].
- La porte d'Arras, construite en 1595 à la création de la cité, démontée sous le règne de Louis-Philippe Ier et reconstruite à l'abbaye de Dommartin, démontée de nouveau en 1967 et reconstruite en 1979 à l’un des carrefours de la ville[25].
- Les deux monuments aux morts[26] d'Hesdin.
- Le monument aux morts[27] d'Huby-Saint-Leu.
- Le monument aux morts de Marconne, surmonté du Poilu au repos, statue du sculpteur Étienne Camus[28].
- Le monument aux soldats du canton morts pour la France[29].
- Le cimetière militaire[30].
- L'église Saint-Maurice: son édification aurait commencé au XVe siècle, mais le soubassement des murailles fait partie d'un édifice plus ancien. Le chœur est reconstruit au XVIIIe siècle, ainsi que sa tour-clocher. En haut du portail de l'église, figure la date de 1732 et plus bas, en peinture aujourd'hui effacée, figurait le blason de la famille de Brandt (un écu ovale avec d'azur à trois flammes d'or ombrées de gueules)[31]. Ce fut sans doute Louis-François de Brandt (1693-1738) seigneur de Marconne qui fit bâtir la tour et le chœur[32].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Sainte Austreberthe (630-704). Elle fonde à Marconne un monastère et meurt le . Ses restes sont transportés à Montreuil où un monastère prit son nom[33].
- Jacquemart de Hesdin (vers 1355-vers 1414), peintre et enlumineur, auteur des Très Belles Heures du duc de Berry.
- Loyset Liédet (vers 1420-1479), enlumineur installé à Hesdin, œuvra pour Philippe le Bon et Charles le Téméraire.
- David Aubert (vraisemblablement né à Hesdin dans la première moitié du XVe siècle, mort après 1480), écrivain, chroniqueur et copiste pour Philippe le Bon.
- Joannes Loisel (1607-1660), chanoine régulier, maître de chant et compositeur, né dans la commune.
- Adrien Parvilliers (1619-1678), jésuite français, mort à Hesdin.
- Antoine François Prévost (1697-1763), écrivain, auteur de Manon Lescaut, né dans la commune.
- Pierre-Jean de Caux de Blacquetot (né à Hesdin en 1720, mort en 1792 à Cherbourg), général du génie de la Révolution française.
- Marie Théodore Urbain Garbé (né et mort à Hesdin : 1769-1831), général de la Révolution et du Premier Empire (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).
- Alexandre Vincent (né à Hesdin en 1797, mort à Paris en 1868), mathématicien.
- Victor Jacquemont (1801-1832), naturaliste et explorateur.
- Irénée Faustin Fréchon, né le à Hesdin et mort le à Arras, homme d'église et homme politique.
- Jules Tripier (né le à Hesdin), général de division, grand-croix de la Légion d'honneur.
- Charles Blondin (né Jean François Gravelet à Hesdin en 1824, mort à Londres en 1897), funambule et acrobate.
- Clovis Normand (né à Hesdin en 1830, mort en 1909), architecte.
- Joseph-Élie Méric (né à Hesdin en 1838, mort en 1905), ecclésiastique et professeur à la Sorbonne.
- Henri de Saint-Delis (1878-1949), peintre, né dans la commune. Son père, militaire, était affecté à la caserne de la Frézelière du 5e régiment de dragons.
- Henri Le Fauconnier (né à Hesdin en 1881, mort en 1946 à Paris), peintre cubiste.
- Abel Poulain (1899-1969), résistant et homme politique, député et maire d'Hesdin, mort dans la commune.
- André Ryssen (1900-1946), ancien international de football, né dans la commune.
- François Dalle (né à Hesdin en 1918, mort à Genève en 2005), chef d'entreprise, PDG de L'Oréal.
- Dominique Thomas (né en 1963 à Hesdin), footballeur français ayant évolué au LOSC Lille (1983-1988 et 1989-1993) et aux Girondins de Bordeaux (1988-1989).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 3], [lire en ligne]
- « La commune » sur Géoportail.
- Le réseau France services pour la région Hauts-de-France, [lire en ligne]
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- ↑ "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Références
[modifier | modifier le code]- ↑ Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 339.
- ↑ « Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle d'Hesdin-la-Forêt. » [PDF], sur Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ), p. 67-70
- ↑ Virginie Carton, « Elle est née la nouvelle ville d’Hesdin-la-Forêt ! », La Voix du Nord, (lire en ligne
, consulté le ).
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2021 et 2022.
- ↑ « Le Beffroi d'Hesdin »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Les monuments, sur ville-hesdin.fr (consulté le ).
- ↑ « Hôtel de ville », notice no PA00108312, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2022 », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « église Notre-Dame », notice no PA00108309, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Abbaye de Saint-André-aux-Bois », notice no PA00108308, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Ancien hôtel », notice no PA00108314, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Ancien hospice Saint-Jean », notice no PA00108310, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Hôtel de Songeat », notice no PA00108311, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Maison no 4 », notice no PA00108315, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Maison no 6 », notice no PA00108316, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Maison no 8 », notice no PA00108317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « Maison natale de l'abbé-Prévost », notice no PA00108313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no PA00108321.
- ↑ « Huby-Saint-Leu : le toit et le clocher de l’église ont toujours besoin d’être réparés : Depuis le 6 mars 1992, l’ARE (Association restauration de l’église) veille jalousement sur l’église Saint-Leu. Présidée par Chantal Pandélis, elle a pour but de collecter des fonds pour maintenir en bon état ce monument historique. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Virginie Carton (photogr. Matthieu Botte), « Cinq bâtiments hesdinois sont désormais inscrits au titre des Monuments historiques », La Voix du Nord, (lire en ligne
, consulté le ).
- ↑ « La maison du père Brassart reprend du service », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- ↑ « Brasserie-malterie Georges, puis Cousin », notice no IA62000303, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ Vita D. B. Gozuini, Mss du moine Alexandre, XIIe siècle, n° 813 du catalogue des manuscrits, cité par Eugène Alexis Escallier dans L'abbaye d'Anchin 1079-1792, Lille, L. Lefort, 1852, p. 88.
- ↑ Marie-Noëlle Grippari-Piganiol, « Religieux et biens temporels : le prieuré de Saint- Georges d'Hesdin (1094-1553) », Revue du Nord, vol. 74, no 295, , p. 239–257 (DOI 10.3406/rnord.1992.4731, lire en ligne, consulté le )
- ↑ Philippe Lambert, « Les anciennes écuries d’Hesdin redeviennent propriété de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Christian Canivez, « Patrimoine: ces portes qui font la fierté de nos cités en Nord et Pas-de-Calais », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- ↑ « Monument aux soldats du canton Morts pour la France », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- ↑ « cimetière militaire », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- ↑ « Dictionnaire historique et archéologique du département du Pas-de-Calais », dans Arrondissement de Montreuil, Arras, , p. 243
- ↑ « Epigraphie du département du Pas-de-Calais », Arras, vol. tome IV, no 1er fascicule, , p. 109
- ↑ Diocèse d'Arras (lire en ligne), Martyrologe romain